1 Février 2017
Longue danse désarticulée. Violence des corps qui se heurtent et se déchirent. Souffrance des âmes. Intenses solitudes. Obsessions d'un monde qui s'éteint. Histoire si proche qui radote inutilement à nos oreilles. Nous sommes si sourds au pire. Les lumières des chants congolais nous parlent d'ailleurs. Le long et lent adagietto de Mahler chuchote sérénité, tristesse et renoncement.
C'est tout. C'était "Nicht Schlafen" d'Alain Platel hier soir au Parvis.